Agité du bocal

Celui-là roule au triphasé.

Holistique

Elle allait se faire persiller la viande dans un hammam à Saint Josse

Vu au Kivu

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Trottinette congolaise

Pompes à Phynances

En 1929, ils avaient au moins la décence de se jeter par les fenêtres.

Miros

"Une croissance molle avec un passage récessif": les économistes français sont plus suréalistes que Dali.

Noé

Se préparant à rendre visite à une amie enceinte, ils décidèrent de se munir de bouées. "Des fois qu'elle perdrait les eaux", dirent-ils.

Espoir

C'est en se promenant un dimanche après-midi ensoleillé, sur ces chemins où l'on croise tant de couples, que l'on se rend compte qu'il y a de l'espoir même pour les plus laids d'entre nous.

Pas bien dans sa tête

Celui-là est né avec deux doigts dans la prise.

Burka

Le clan des cagoules à Kaboul

Lemmings

C'était un des jours où les petites casquettes Burberry, dans leurs petites voitures gonflées et sonorisées comme des tambours de guerre japonais, cherchaient le crash frontal sur les routes.

Vaudou

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Mille milliards de potferdek

"Un milliard de Chinois pour 10 millions de Belges,..." dit la publicité à la radio. Vous imaginez l'inverse?

IT wallone

Il n'arrêtait pas de me demander si j'avais une "clé U de Hesbaye"

Arte 70

I won't decide for you

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La démarche des jouisseuses

Selon une étude menée par un chercheur en sexologie de l'UCL et une
étudiante-assistante, un lien peut être établi entre la capacité
orgasmique d'une femme et la manière dont elle bouge son corps.
Concrètement, on observe chez une femme anorgasmique peu de mouvement des bras ou des épaules et on constate une grande raideur du bassin. Les
jouisseuses, quant à elles, sont plus souples et apportent plus de
sensualité dans leur mouvement, lorsqu'elles marchent.
       L'étude ajoute encore que toutes les femmes ont bel et bien une capacité orgasmique, mais que cette capacité doit être travaillée...et
qu'une bonne performance des hommes est essentielle.
(Belga, 2/8/2008)

Ils se tiennent par la main

Tous ces couples étaient si laids qu'ils se tenaient la main, tant chacun et chacune avait peur que son conjoint ne s'enfuie.

Les conseilleurs ne sont pas les payeurs

Ceux qui proposent des solutions simples aux problèmes compliqués sont souvent ceux qui proposent des solutions finales.

"Là où vont les pères"

C'est une vraie claque. Je suis tombé sur cette bande dessinée (mais peut-on appeler bande dessinée une histoire sans paroles, sans aucun texte que le titre?) par hasard.
La couverture était déjà intrigante et superbe. Pour être simple, l'histoire que raconte Shaun Tan est belle et émouvante, et rappelle de nombreuses images de l'immigration de la première moitié du XIXe siècle, sur Ellis Island à New York. Shaun Tan nous montre la vie au quotidien d'un immigré perdu dans une culture qu'il ne connaît pas, des aliments qu'il n'a jamais vus, et une langue qu'il ne maîtrise pas. Bien qu'il dise qu'il a collecté differentes histoires et expériences de personnes confrontées à des mondes étranges (notre monde est étrange pour les étrangers) l'auteur (australien) sait de quoi il parle: son père est arrivé en Australie en provenance de Malaysie.
Le livre est brillant tant dans son propos que dans la qualité de son illustration. On s'arrête sur les dessins, on les examine de près, on les déguste avec un immense plaisir. Et on s'empresse d'aller admirer les autres œuvres de l'auteur sur son site.
Publié chez Long Courrier (Dargaud).

De Brab fait fort en douceur

Il fallait bien que cela arrive un jour. Quand on décrit par le menu la vie au jour le jour d'une famille —presque— comme les autres, elle se retrouve confrontée forcément à la mort.
L'histoire de Mamy Galette (le dernier album de De Brab) va nous amener petit à petit vers cette exposition à la disparition d'un proche; on s'y prépare tout au long de l'album, notamment suite aux interrogations existentielles de Sac à puces. Et finalement, l'événement que l'on craignait arrive presque naturellement.
Du grand art...

Penguins

Formation IT

Quiconque a dû un jour donner une formation IT s'y reconnaîtra...

Commune lundi

Il s'était réveillé comme un bonobo sans aucune touriste à l'horizon.